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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 09:54

 

 

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La qualité de l'eau s'est améliorée, mais des études récentes montrent des niveaux de bactéries fécales supérieur  à ceux autorisés


24.09.12 - 02:13 - JM.V. | SAN SEBASTIAN.


La seule zone de ramassage  de mollusques bivalves du Gipuzkoa continue d'être interdite encore cette année et ce pour la cinquième année consécutive. Le gouvernement basque a interdit la collecte des crustacés dans l'estuaire de la Bidassoa, parce que les prélèvements continuent d'afficher des niveaux de bactéries fécales plus élevé que ceux autorisés  conformément  au droit européen de la consommation humaine des clovisses, le mollusque principale qui se ramasse traditionnellement dans cette zone. Cependant, la qualité de l'eau s'est «amélioré» ces dernières années et il est possible que  l'année prochaine on puisse à nouveau ramasser ces coquillages.


L'ordonnance  du département  de l'Agriculture et de la Pêche a publié ce même mois  et pour un an les zones de shellfishing (ramassage de coquillages) de la côte basque. Plus concrètement, la collecte est interdite tout au long de la baie de Txingudi, à l'exclusion de la zone de l'embouchure et jusqu'à l'aéroport, qui est classé zone C. Ce qualificatif, dans la pratique, est également une interdiction de collecter des coquillages. Les spécimens prélevés dans la baie devraient être réintroduit dans une zone A (totalement propre) pour être débogés. Le but de cette interdiction est d'empêcher de possibles intoxications au  cas où ces dits mollusques ramassés dans la baie de txingudi venaient à être consommés.  


Oihana Solaun, Chercheur  à Azti-Tecnalia explique que bien que la qualité de l'eau se soit "beaucoup améliorée" ces dernières années, les 90% des dix dernières prélèvements reflètent une concentration de bactéries fécales (E. coli) supérieure aux seuils de normalité ce qui rend les mollusques impropres à la consommation humaine. Les quatre prélèvements effectués l'année dernière, où la moule  est utilisée comme "espèce sentinelle" reflètent  des taux plus faibles, mais le dernier prélèvement   fait cette année donne des chiffres  «beaucoup plus élevés». Ni le Gouvernement Basque ni  Azti  connaissent l'origine de ces rejets fécaux.


Malgré les résultats de la dernière analyse Azti-Tecnalia  est convaincu que les prochains prélèvements à réaliser (cinq de plus) permettront  de lever l'interdiction de ramasser des coquillages l'année prochaine, compte tenu de l'amélioration de la qualité de l'eau. La zone sera alors homologué  de type B, ce qui permettrait la collecte et  la consommation humaine.


L'interdiction de collecter des coquillages a stupéfié les amateurs de fruits de mer de la région. L'an dernier, la Ertzaintza a dû  intervenir le 1er Octobre , jour  de l'ouverture officielle de la "saison"  de collecte des différents coquillages au grand dam de nombreux férus.


Beaucoup d'amateurs de coquillages pensent que l'eau de la baie "est propre" et, malgré l'interdiction, ils s'aventurent à ramasser des crustacés. Ils s'exposent, selon des sources gouvernementales,  à des amendes pouvant aller jusqu'à 300 euros.

 

 Source:http://www.diariovasco.com/v/20120924/al-dia-local/prohibido-marisqueo-txingudi-quinto-20120924.html

 

 

Prohibido el marisqueo en Txingudi por quinto año consecutivo


La calidad de las aguas ha mejorado, pero los últimos muestreos revelan niveles de bacterias fecales superiores a los permitidos 

 

24.09.12 - 02:13 - JM.V. | SAN SEBASTIÁN.

 

La única zona de marisqueo de bivalvos a pie de Gipuzkoa seguirá un año más con el cartel de 'prohibida la recolección'. Por quinto año consecutivo, el Gobierno Vasco ha vuelto a cerrar el estuario del Bidasoa al marisqueo, debido a que los muestreos realizados siguen revelando niveles de bacterias fecales superiores a los permitidos según la normativa europea para el consumo humano de almejas, el principal molusco que tradicionalmente se recolecta allí. No obstante, la calidad de las aguas «ha mejorado» en los últimos años y es probable que el año que viene se vuelva a permitir el marisqueo.

 

La orden del Departamento de Agricultura y Pesca publicada en este mismo mes clasifica un año más las zonas de marisqueo de la costa vasca. En concreto, cierra la recolección en toda la bahía de Txingudi, excepto la zona de la desembocadura hasta el puntal del aeropuerto, que se cataloga como zona C. Esta etiqueta, en la práctica, supone también la prohibición de mariscar. No en vano, se deberían reintroducir los ejemplares recogidos en una zona catalogada como A (totalmente limpia) para su depuración. El objetivo de la prohibición es prevenir posibles intoxicaciones si se llegan a consumir moluscos recogidos en la bahía de Txingudi.

 

Según explica la investigadora de Azti-Tecnalia Oihana Solaun, a pesar de que la calidad del agua «ha mejorado mucho» en los últimos años, se requiere que el 90% de los diez últimos muestreos realizados reflejen una concentración de bacterias fecales (E.coli) por debajo de los umbrales que fijan que los moluscos son aptos para el consumo humano. Los cuatro muestreos realizados el año pasado -se utiliza el mejillón como especie centinela- reflejaron valores inferiores, pero el último realizado este año ha dado unos resultados con cifras «muy superiores». Ni Azti ni el Gobierno Vasco conocen el origen de los vertidos fecales.

 

A pesar del resultado del último análisis, en Azti-Tecnalia confían en que los próximos muestreos que se realicen (cinco más) permitan la apertura del marisqueo el año que viene, teniendo en cuenta la mejora de la calidad del agua. La zona se calificaría como tipo B, con lo que se permitiría la recolección y el consumo humano, una vez depurados.

 

La prohibición ha caído como un jarro de agua fría entre los aficionados al marisqueo de la zona. El año pasado, sin ir más lejos, la Ertzaintza tuvo que intervenir el mismo día en que se debería haber abierto la veda -el 1 de octubre- ante las protestas de los aficionados delante de los inspectores de pesca.

Muchos aficionados consideran que el agua de la bahía «está limpia» y, a pesar de la prohibición, se aventuran a recoger moluscos. Todos ellos se exponen a multas de hasta 300 euros, según señalan fuentes del Gobierno Vasco.

 


Source: http://www.diariovasco.com/v/20120924/al-dia-local/prohibido-marisqueo-txingudi-quinto-20120924.html

 

 

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